J’ai pas ajouté de photos de famine à Madagascar, de déforestation à Bornéo ou au Brésil, de blanchissement de la Grande Barrière de Corail, de fonte des glaciers Groenlandais ou du permafrost sibérien, des fuites de méthane des industries fossiles, des cyclones bangladais ou caribéens, de l’impact de la sécheresse sur l’agriculture du Midwest américain, de celui des pluies sur les moissons en Europe, des Pakistanais et des Iraniens qui meurent de la chaleur… On vit une époque radicale.
Si on veut une plus grande mobilisation, il faut la faciliter en lui donnat des outils. Là, c’est un standard téléphonique, un robot, et une liste de destinataires en fonction du code postal.